Avoir un chancelier mortanyss

L'on disait que le chancelier se faisait de plus en plus absent. Bien que certain situation semblait urgente, il préférait rester enfermer dans un endroit bizarre ou il interdisait a quiconque d'entré. Il méditait disait-on.

Ça faisait bien longtemps qu'il n,avait mis le pied en mortanyss, bien que la malédiction de son peuple ne le touchait que très peu a cause de sa solitude, il ressentait un mal le ronger de l'intérieur. La méditation était ce qui pouvait le sauver.

En attendant un plus grande activité, il avait laisser le soins au deux Caïds de s'occuper de la cité.
Les priorité était le recrutement et le gain d'or.

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De plus en plus, le môme se faisait impatient. Il traînait à la porte de l'endroit étrange, y dormant parfois, sans jamais relaxé. Les sens aux aguets, les muscles et les traits crispés, l'inquiétude en venait peu à peu à bout.

Hors des Cents, il était colérique et instable.

Encore une fois, le cabot était laissé derrière une porte.

En tant qu'adjoint administratif, Lawreth laissait sa porte ouverte à quiconque désirant un soutient financier ou autre.

Que le cabot du chancelier soit prévenu, il devra se tenir tranquille lorsqu'il est à l'intérieur des Cent sous peine d'en découdre avec le Caïd Kheijan malgré ses tendres affections pour Lyan.

Le môme semblait plutôt absent des Cents-Pointes, depuis l'annonce. Il avait à faire ailleurs, dit-on. Une chose était sur, on le voyait peu à peu bouillir de la mise en garde de Lawreth. À savoir si ça déplaisait à notre cabot.

Après un temps ou on le voyait colérique pour un rien, ou on le voyait ennuyé pour un rien, refusant néanmoins toute tentative d'aide, Lyan grognait tranquillement. On lui avait proposer des milliers de choses à faire, mais son humeur en restait toujours aussi massacré. Un jour, en s'éclipsant, dans de purs enfantillages, d'une discussion avec Agone, il grogna d'une voix forte, en plein centre des Cents.

- Si seulement cette ville pouvait brûlée une fois pour toute, qu'on dégage ! J'en peux plus, moi !

Et, furieux, il avait adopter un pas crispé vers la chambre ou méditait son Maître. L'enfant ne semblait plus être apte à supporter la ville ou on le forçait à vivre, ou on le forçait à travailler. Et ce, dans son humeur, était une preuve irréfutable.

Face à la porte, il l'ouvrit sans ménagement, s'écrasant dans un des recoins de la pièce avant d'arquer sa tête contre le mur. Qu'il le souhaite ou pas, il ne bougerait plus de là. Il lui donnait trop de libertés. Il n'arrivait plus à se satisfaire de ce qu'il aurait du. Autant s'enchaîner soi-même si on veut survivre aux autres années...

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