Une Lapine à la Gorge Tranchée
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Une Lapine à la Gorge Tranchée
Elle baignait, inconsciente, dans sa propre marre de sang. Celle-ci se faisait rapidement un chemin, s'étallant sur le sol de marbre blanc de sa maison. Au milieu de tout ce liquide rouge, gisait la lapine au teint maintenant aussi pâle que que le sol où elle était étendue.
Depuis quelques lunes, la lapine avait commencé à cesser se boire ses potions qui rendaient trop faible son esprit. Elle commencait doucement à avoir sa volonté de nouveau. Et justement, cette volonté la fit prendre contact avec le gorlak de Kar afin d'éclaircir la situation nébuleuse dont il avait été mêllé la dernière fois. Il lui rendit donc visite comme convenu à son atelier de forge ou elle avait quelques clients et commandes en cours. Malgré les derniers évènements, la lapine avait rapidement retrouvé son petit sourire habituel. Une fois les commandes terminées, ils se rendirent tous deux à sa maison où ils prirent place à la table de la cuisine pour la discussion.
Levant la tête vers les escaliers qui menait à l'étage du haut, la lapine avait cru entendre des pas juste au-dessus. Elle se leva donc afin d'aller vérifier sa chambre.
Surprise, l'Ombre y était. Et ce dernier n'était pas des plus ravis de voir l'invité de la lapine. Ce gorlak, qui, lui avait tenu tête lors de leur dernière rencontre. Comme prise entre deux feux, la lapine rouge les écoutait s'insulter l'un et l'autre pendant un bon moment. Elle se garda bien de passer plusieurs commentaires afin de ne pas attiser la colère de son maître.
Et pourtant, elle s'opposa au meurtre qui allait être commis chez elle. Lui jetant un regard qui en disait long, l'Ombre marcha lentement jusqu'au balcon et lui fit doucement signe de s'approcher. Des ordres du genre ne dérangeaient pas la lapine rouge, bien au contraire... elle était heureuse d'avoir des choses si simples à faire souvent. Simplement cette fois, malgré les mouvements lents et loin de démontrer une aggresivité quelconque, l'Ombre pris d'une poigne ferme la tête de la lapine dans une de ses mains. Son visage très près du sien, il lui dit qu'elle n'était que déception depuis le début et qu'elle le remerciait de sa bonté en lui crachant au visage. Et que puisqu'elle ne comprenait pas de la manière douce, que cette fois il allait lui donner une leçon. Il approcha alors sa main du cou de la lapine en frôllant une dague à ce niveau avant, d'un geste vif, de lui trancher la gorge.
Elle eu à peine le temps d'apporter ses mains tremblantes à son cou avant de sombrer dans l'inconscience la plus totale au sol. Le liquide rouge se répendait tellement rapidement sur ses vêtements... C'était donc ca mourir? Cette noirceur infinie? Ces regrets? Ce froid qui ne démordait pas?
La chose suivante dont elle eu conscience était de grandes mains qui la soulevait sans peine du sol afin de lui porter l'aide dont elle avait besoin afin de survivre. Ces mêmes mains qui mirent une forte pression sur son cou afin que le sang cesse de se répendre sur ses draps et dans ses longs cheveux...
Une fois de plus, il lui sauvait la vie... encore...
Cherchant son air la plupart du temps, elle s'étouffait avec son propre sang à chaque inspiration.
La lapine était maintenant étendue dans son lit sans aucune énergie. A demi-consciente la plupart du temps. Incapable de se lever par elle-même ou de boire... Le repos était de mise, mais seule dans cette grande maison, qui remarquerait son absence?
Depuis quelques lunes, la lapine avait commencé à cesser se boire ses potions qui rendaient trop faible son esprit. Elle commencait doucement à avoir sa volonté de nouveau. Et justement, cette volonté la fit prendre contact avec le gorlak de Kar afin d'éclaircir la situation nébuleuse dont il avait été mêllé la dernière fois. Il lui rendit donc visite comme convenu à son atelier de forge ou elle avait quelques clients et commandes en cours. Malgré les derniers évènements, la lapine avait rapidement retrouvé son petit sourire habituel. Une fois les commandes terminées, ils se rendirent tous deux à sa maison où ils prirent place à la table de la cuisine pour la discussion.
Levant la tête vers les escaliers qui menait à l'étage du haut, la lapine avait cru entendre des pas juste au-dessus. Elle se leva donc afin d'aller vérifier sa chambre.
Surprise, l'Ombre y était. Et ce dernier n'était pas des plus ravis de voir l'invité de la lapine. Ce gorlak, qui, lui avait tenu tête lors de leur dernière rencontre. Comme prise entre deux feux, la lapine rouge les écoutait s'insulter l'un et l'autre pendant un bon moment. Elle se garda bien de passer plusieurs commentaires afin de ne pas attiser la colère de son maître.
Et pourtant, elle s'opposa au meurtre qui allait être commis chez elle. Lui jetant un regard qui en disait long, l'Ombre marcha lentement jusqu'au balcon et lui fit doucement signe de s'approcher. Des ordres du genre ne dérangeaient pas la lapine rouge, bien au contraire... elle était heureuse d'avoir des choses si simples à faire souvent. Simplement cette fois, malgré les mouvements lents et loin de démontrer une aggresivité quelconque, l'Ombre pris d'une poigne ferme la tête de la lapine dans une de ses mains. Son visage très près du sien, il lui dit qu'elle n'était que déception depuis le début et qu'elle le remerciait de sa bonté en lui crachant au visage. Et que puisqu'elle ne comprenait pas de la manière douce, que cette fois il allait lui donner une leçon. Il approcha alors sa main du cou de la lapine en frôllant une dague à ce niveau avant, d'un geste vif, de lui trancher la gorge.
Elle eu à peine le temps d'apporter ses mains tremblantes à son cou avant de sombrer dans l'inconscience la plus totale au sol. Le liquide rouge se répendait tellement rapidement sur ses vêtements... C'était donc ca mourir? Cette noirceur infinie? Ces regrets? Ce froid qui ne démordait pas?
La chose suivante dont elle eu conscience était de grandes mains qui la soulevait sans peine du sol afin de lui porter l'aide dont elle avait besoin afin de survivre. Ces mêmes mains qui mirent une forte pression sur son cou afin que le sang cesse de se répendre sur ses draps et dans ses longs cheveux...
Une fois de plus, il lui sauvait la vie... encore...
Cherchant son air la plupart du temps, elle s'étouffait avec son propre sang à chaque inspiration.
La lapine était maintenant étendue dans son lit sans aucune énergie. A demi-consciente la plupart du temps. Incapable de se lever par elle-même ou de boire... Le repos était de mise, mais seule dans cette grande maison, qui remarquerait son absence?
Enigma- Messages : 99
Date d'inscription : 06/04/2009
Re: Une Lapine à la Gorge Tranchée
Une personne verrait son absence, même plusieurs. Sauf qu'une jeune femme le remarquerai et de beaucoup. Celle qui était toujours là, qu'a chaque fois qu'on la voyait c'était un expression de « Mais qui est cette foutu femme?». Puis les hommes et finissait par avoir un petit sourire de désespérer devant-elle ou un simple sourire amusé. Lorsqu'elle quittai les lieu, elle était déjà perdu de leur esprit, n'existant plus souvent.
Cette femme qui on la voyais un jour, ne la reconnaissait pas le lendemain était très souvent, là. Près de la maison de la lapine. Elle restait des fois des heures assises sur un buche, devant la maison, dans l'ombre de la forêt, buvant ses fioles au gout amères et acre. Pourtant, mêmee sielle y passait trop de temps, elle ne pu voir la scène, trop loin surement, peut-être qu'elle n'était tout simplement pas là.
Ce qui laissait tout de même son questionnement de ne pas la voir cher elle au lever du soleil, son petit minois sans de malice a se moment, ne posa que questionnement, semblant rester sur sa buche. Elle, qui aussi a l'affut qu'un aigle, resta ainsi, se demandant ou pouvais bien être se matin son lapin.
Cette femme qui on la voyais un jour, ne la reconnaissait pas le lendemain était très souvent, là. Près de la maison de la lapine. Elle restait des fois des heures assises sur un buche, devant la maison, dans l'ombre de la forêt, buvant ses fioles au gout amères et acre. Pourtant, mêmee sielle y passait trop de temps, elle ne pu voir la scène, trop loin surement, peut-être qu'elle n'était tout simplement pas là.
Ce qui laissait tout de même son questionnement de ne pas la voir cher elle au lever du soleil, son petit minois sans de malice a se moment, ne posa que questionnement, semblant rester sur sa buche. Elle, qui aussi a l'affut qu'un aigle, resta ainsi, se demandant ou pouvais bien être se matin son lapin.
Lizabeth Es'Lyth- Messages : 37
Date d'inscription : 02/07/2009
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