Les pommes ne tombent pas toujours près de l'arbre

Milimix Falandrix Mar 1 Sep - 6:24

Pomme était assit dans un arbre, un pied dans le vide, le dos contre l'arbre, tel un fruit il observait, quelque fois, se qui ce passait, rien, c'était le calme plat et il en profitait, son calepin entre les mains, quelques fusains, il dessinait des souvenirs, des gens, sa famille des cents pointes, il devait être à son dixième dessein, lorsqu'il commença à pleuvoir, il releva la tête lentement, referment par le fait même son calepin sur un portrait inachevé. Il observait la pluie qui venait perlée sur son visage, son regard pris une forme démotivé, il n'était pas trop fier de ce qu'il était devenu, c'était un malfrat, il était devenu ce qui avait détruit sa famille, le regard perdu dans les nuages et dans la pluie, il se remémora ce qui c'était passer près de soixante ans plus tôt. Milimix était l'enfant d'une famille de trois enfant, deux filles née dans la saison de l'hiver et lui un enfant du printemps, le cadet. Sa mère, une brillante militaire de la saison de l'hiver et son père un nébulix d'automne, qui était un simple fermier pour la ville d'hildrim vivaient dans leur maison familiale se situait près des frontière d'hildrim dans un secteur agricole, Milimix âgé de seulement cinq saison était déjà très avancé pour son age, il s'apprêtait à entré dans l'académie de l'été, c'était un artiste né, son père disait, mais un beau soir pluvieux d'automne, les cloches d'hildrim rentraire en panique, une armée de brigand c'était prit l'envie de piller le secteur agricole, question de se faire des réserves pour l'hiver, la majorité des villageois eurent le temps de ce réfugier dans la ville, mais la famille n'eut pas le temps, ils étaient plutôt reculés, la famille ne pouvait ce déplacer, car c'était la première frappée, Milimix était resté dans l'ombre, recroquevillé sur lui même, quand les malfrats mirent la porte en pièce, le père fit basculer la table en direction de Milimix avant de se faire agripper par l'un des Gorlak présent, un Kheijan en profita pour trancher la mère en deux à l'aide de son sabre, puis le reste partirent en direction de la chambre des enfants, Pomme ne vit jamais les horreurs qui c'était produit, le père refusant de coopérer avec les malfrats se fit trancher la langue, avant de se faire trancher la gorge par des criminels qui riait en cœur, s'éloignant de la demeure pour aller s'occuper d'une autre maison, cette fois vide.

- Pomme! Dessend, tu vas attrapé un rhume! Une camarade des cents pointes hurlait ses mots

Je suis devenu un criminel, mais il reste que tout les criminel ne sont pas des monstres... que Pomme pensa

Pomme sauta en bas de son arbre, allant se réfugier au chaud.