Le rêve d'un homme seul...[BG]
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Le rêve d'un homme seul...[BG]
<<Quand ils sont long les jours de pluies, quand je suis seul et je m'ennui. Dans ce rythme monotone; au fond de moi ton nom résonne...>>
Le crépitement des flammes éclatait sur sa peau. Brandissant sa torche, les sourcils sévères; il était entré tête baissée dans un portail qui déforma son espace et le temps qu'il aurait du prendre...Une fois sa matérialité reconquise, il se déplaça sur sa gauche pour enflammer les tentes d'un pincement au coeur. Son dernier regard vivant se porta par dessus son épaule pour se rendre compte qu'ils l'avaient tous abandonné. Klarth était seul et sans défenses. Il couru un court instant, battant le sol d'une jambe incertaine pour au final, se faire hacher presqu'en deux par une hache plus grosse que lui.
L'herbe glacé de l'hiver prenait une teinte ocre sous lui. Le visage écrasé contre un barre de fer rouillée par le froid. Deux mèches mêlées au sang, c'était aggripées à sa peau et son regard perdait son habituelle présence. Des larmes vertes coulaient sur ses joues, ses iris se vidaient de leurs couleurs. Épris de douces convulsions, ses mains oscillait entre le coin d'une lourde cage et la chaleur d'une plaie béante...
Une semaine passa.
Les doigts éclatés et les ongles révulsés, il avait creusé le sol pour se glisser sous le morne grillage. Caché dans un coin sombre de la tente, il attendait le regard vide et la bouche entre-ouverte. Lorsqu'un cliquetis se fit entendre, Le jeune homme prit se qu'il lui restait de force pour courir. Voilà la dernière course d'un homme dont l'espoir d'atteindre la ligne d'arrivée c'est déchiré en quelques secondes. La main tendu vers l'avant, criant sourdement, il courait sur les pierres du chemin, se brisant les pieds d'un élan maladroit. Quelques larmes le précédait, voletaient derrière lui. Nu, les dos à demi-cicatrisé, il eu le temps de vasciller maladroitement jusqu'aux portes de Kar avant que ses muscles n'éclatent sous le poids d'une hache rouillée.
<<Lorsque tour à tour dans ma vie, je ne t'ai pas vu de la semaine. Que je dis comme une litanie, à mon oreiller que je t'aime.>>
À Citria, la soleil c'était levé ce matin-là. Le chant des oiseaux résonnait au dessus des toits et les gens se saluaient d'un large sourire. Et évidement, on en avait que faire d'un mandiant...Personne n'a remarqué l'abscence du jeune homme si ce n'est que d'un vagabond ou deux.
<<Car en chantant cet air-là, je ne peux penser qu'à toi...>>
Je vois des ombres armurées vaciller derrière la vivacité de ces torches. Depuis que j'eus repris une certaine conscience, Je n'ai plus jamais fermé mes paupières entaillées. Il y a déjà deux ou trois cicatrices que j'eus abandonné cette terre. Mon âme pesante de larmes est déjà bien loin par delà ces nuages qui prennent des formes de mort et j'eus souvenir d'un sourire d'autrefois. J'ai fais le deuil de moi. Mes yeux ouvert dorment contre le pointu d'un brin d'herbe et je convulse de l'absence de rêve dans la lividité de mon cœur.
Laissez-moi mourir
Derrière l'aurore étalée
Celui d'un dernier sourire
Et d'une tendresse égarée
Laissez-moi mourir
Sur les draps de mon être
Du fond d'un lac, ce respire,
Pour qu'enfin je puisse renaître.
Laissez-moi mourir
Sur cette grève sans fin,
Que sur ma tombe, vous puissiez lire
Le bas-relief de demain.
Laissez-moi vivre
Sous cet illustre écueil,
D'un songe un peu ivre
Je vous en prie, fermez mon cercueil.
Le crépitement des flammes éclatait sur sa peau. Brandissant sa torche, les sourcils sévères; il était entré tête baissée dans un portail qui déforma son espace et le temps qu'il aurait du prendre...Une fois sa matérialité reconquise, il se déplaça sur sa gauche pour enflammer les tentes d'un pincement au coeur. Son dernier regard vivant se porta par dessus son épaule pour se rendre compte qu'ils l'avaient tous abandonné. Klarth était seul et sans défenses. Il couru un court instant, battant le sol d'une jambe incertaine pour au final, se faire hacher presqu'en deux par une hache plus grosse que lui.
L'herbe glacé de l'hiver prenait une teinte ocre sous lui. Le visage écrasé contre un barre de fer rouillée par le froid. Deux mèches mêlées au sang, c'était aggripées à sa peau et son regard perdait son habituelle présence. Des larmes vertes coulaient sur ses joues, ses iris se vidaient de leurs couleurs. Épris de douces convulsions, ses mains oscillait entre le coin d'une lourde cage et la chaleur d'une plaie béante...
Une semaine passa.
Les doigts éclatés et les ongles révulsés, il avait creusé le sol pour se glisser sous le morne grillage. Caché dans un coin sombre de la tente, il attendait le regard vide et la bouche entre-ouverte. Lorsqu'un cliquetis se fit entendre, Le jeune homme prit se qu'il lui restait de force pour courir. Voilà la dernière course d'un homme dont l'espoir d'atteindre la ligne d'arrivée c'est déchiré en quelques secondes. La main tendu vers l'avant, criant sourdement, il courait sur les pierres du chemin, se brisant les pieds d'un élan maladroit. Quelques larmes le précédait, voletaient derrière lui. Nu, les dos à demi-cicatrisé, il eu le temps de vasciller maladroitement jusqu'aux portes de Kar avant que ses muscles n'éclatent sous le poids d'une hache rouillée.
<<Lorsque tour à tour dans ma vie, je ne t'ai pas vu de la semaine. Que je dis comme une litanie, à mon oreiller que je t'aime.>>
À Citria, la soleil c'était levé ce matin-là. Le chant des oiseaux résonnait au dessus des toits et les gens se saluaient d'un large sourire. Et évidement, on en avait que faire d'un mandiant...Personne n'a remarqué l'abscence du jeune homme si ce n'est que d'un vagabond ou deux.
<<Car en chantant cet air-là, je ne peux penser qu'à toi...>>
Je vois des ombres armurées vaciller derrière la vivacité de ces torches. Depuis que j'eus repris une certaine conscience, Je n'ai plus jamais fermé mes paupières entaillées. Il y a déjà deux ou trois cicatrices que j'eus abandonné cette terre. Mon âme pesante de larmes est déjà bien loin par delà ces nuages qui prennent des formes de mort et j'eus souvenir d'un sourire d'autrefois. J'ai fais le deuil de moi. Mes yeux ouvert dorment contre le pointu d'un brin d'herbe et je convulse de l'absence de rêve dans la lividité de mon cœur.
Laissez-moi mourir
Derrière l'aurore étalée
Celui d'un dernier sourire
Et d'une tendresse égarée
Laissez-moi mourir
Sur les draps de mon être
Du fond d'un lac, ce respire,
Pour qu'enfin je puisse renaître.
Laissez-moi mourir
Sur cette grève sans fin,
Que sur ma tombe, vous puissiez lire
Le bas-relief de demain.
Laissez-moi vivre
Sous cet illustre écueil,
D'un songe un peu ivre
Je vous en prie, fermez mon cercueil.
Langue de bois- Messages : 16
Date d'inscription : 31/01/2010
Re: Le rêve d'un homme seul...[BG]
Voici l'histoire peu émouvante d'un homme qui fut seul, l'ode d'une vie en bataille et la guerre de cet enfant volage. Il n'avait rien demandé, il n'avait surtout rien supplié, mais le destin en avait écrit autrement sur la tranche d'un livre déjà taché de larmes. Aujourd'hui, au travers d'un iris grisâtre, on pouvait voir quelques nuages entremêlé de barreaux de fer...
D'un grand ogre violent à la douceur de ces chevaliers blancs, les meurs restent les même. Et les corps resterons immobiles, fixant d'un oeil crevé, l'étendard ternie d'une liberté qui aurait éclatté il y a mille ans.
<< Est-ce que c'est lui qui perd la tete, qui devient fou...Meme si son cœur est à la fete ses yeux sont flous. >>
Étrangement, on s'en foutait. Et malheureusement, ses larmes n'arrivèrent pas à étancher sa soif...Il avait même essayé de les boires, pauvre enfant...
Étrangement, on s'en foutait. Et malheureusement, sa chaire n'arriva pas à combler sa faim. Il avait tenté de survivre...Pauvre enfant...
D'un grand ogre violent à la douceur de ces chevaliers blancs, les meurs restent les même. Et les corps resterons immobiles, fixant d'un oeil crevé, l'étendard ternie d'une liberté qui aurait éclatté il y a mille ans.
<< Est-ce que c'est lui qui perd la tete, qui devient fou...Meme si son cœur est à la fete ses yeux sont flous. >>
Étrangement, on s'en foutait. Et malheureusement, ses larmes n'arrivèrent pas à étancher sa soif...Il avait même essayé de les boires, pauvre enfant...
Étrangement, on s'en foutait. Et malheureusement, sa chaire n'arriva pas à combler sa faim. Il avait tenté de survivre...Pauvre enfant...
Langue de bois- Messages : 16
Date d'inscription : 31/01/2010
Re: Le rêve d'un homme seul...[BG]
De plus en plus, pour l'oeil avertis, il était possible d'appercevoir la silhouaite frèle et brisé d'un jeune. Visage noué d'un tissus qui avala plus d'une larme, sourcils froisés d'une peur ancrée, il avançait toujours absent, le pas trainant depuis qu'ont l'eut broyé. D'une bouche scellée au cris éternels, ceux d'un coeur qu'on eut explosé du crochet de la lance. L'oeil gris, l'iris vide, langue de bois était rentré chez lui...
Langue de bois- Messages : 16
Date d'inscription : 31/01/2010
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