Fables

A la ferme, le cheval est malade. Le vétérinaire dit au paysan:
" Je vais injecter un remède, si dans trois jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre."
Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval: "Lève toi !"
Mais le cheval est trop fatigué.
Le deuxième jour le cochon dit: "Lève toi vite !"
Le cheval est toujours aussi fatigué.
Le troisième jour le cochon dit: "Lève toi sinon ils vont t'abattre !"
Alors dans un dernier effort, le cheval se lève.
Heureux, le paysan dit: "Faut fêter ça: on tue le cochon !"
Moralité : Toujours s'occuper de ses affaires et fermer sa gueule.

Ce sont Quatre étudiants qui ont un examen final à passer le lundi..
Ils sont brillants. Ils vont faire la fête toute la fin de semaine.

Seulement... (oups !), ils ne se réveillent pas le fameux lundi matin de l'examen de fin d'année.
Dès leur arrivée, ils vont voir le professeur concerné pour s'excuser...
et lui demandent alors de repasser l'examen le lendemain matin
en argumentant - en guise d'excuse - qu'ils étaient
les quatre en covoiturage et qu'ils ont fait une crevaison sur le chemin de l'examen.

Le professeur, très sympathique, accepte finalement.
Les quatre étudiants étudient fort toute la nuit de lundi à mardi..
Arrive le matin.
Le prof les met dans des salles différentes et leur donne les sujets d'examen.
Le premier problème est sur 5 points.
Chacun le lit dans son coin et trouve ça très facile.
Après, ils tournent la page et le second problème pour 95 points est:

«Lequel des quatre pneus de votre voiture a crevé?»

C'est un magnifique dael, vivant dans la forêt sainte, toutes les nymphes admiraient sa beauté et le suivait jusqu'à ce qu'il atteigne un lac. Là il passait des heures à se regarder à la surface du lac, admirant sa propre beauté.
Mais à un jour, il fut massacré alors que les cent-pointes allait cueillir quelques plantes pour le commerce de drogues. Les nymphes, extrêmement attristées par la porte du dael, allèrent au lac ou il passait tout son temps à se regarder. En y arrivant, elles entendirent des sanglots. C'était le lac qui pleurait:

"Ô lac, pleures-tu la mort du beau dael?"

"Ah? Il était beau? Non, je pleure car je ne pourrai plus me regarder dans le reflet de ses yeux."