Quand le désir corrompt l'esprit.
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Quand le désir corrompt l'esprit.
‘’Valar Lawreth’’, s’enquit de conclure la nouvelle forgeronne des Cent-Pointes.
‘’Shalam maaa-demoiselle Rroose’’, repondit Lawreth sur un ton douceâtre lorsque Vandala regagna ses appartements.
Seule à l’étage de l’auberge, Lawreth se tenait devant la chambre de Vandala, immobile et silencieux, laissant les minutes et l’heure s’écouler jusqu’à l’accalmie la plus complète et absolu des lieux. C’est à ces heures qu’il prenait loisir de rendre visite à la clientèle innocemment endormi. Oh ça, il n’y parvenait pas souvent. Ce n’était pas parce que les portes furent été verrouillées, ni dû au sommeil léger des clients, ni à cause des ébats charnelles discrets en cours qui empêchait le kheijan de s’introduire dans leur chambre. Il laissait ce pouvoir entre les mains du hasard juste et équitable. Comme un juge impartial de la conscience, sa pièce de monnaie faisait justice à ses choix. Heureusement depuis qu’il s’amuse à tenter la chance avec sa piécette, ses projets d’incursion demeurèrent vain.
Seulement, une fois…
-……. face, prononça-t-il faiblement, incrédule.
Il entra dans la chambre.
‘’Face?’’, l’interroge opiniâtrement sa conscience lorsqu’il referma la porte derrière lui, le regard porté sur la silhouette exquise d’une femme alité.
Dans sa procession vers la Rose endormit, prête à la cueillir sans la faire frémir, Lawreth, obsédé et silencieux, l’aborda d’abord au chevet de son lit. Muet, il admira la vision qu’il avait sous les yeux. Attentif et serein, il se pencha sur elle pour écouter son souffle doux et infime. Enivré et transcendant, il laissa flotter sa main au-dessus de la silhouette habillée de couvertures, suivant ses reliefs comme pour imprégner sa mémoire à jamais de ce délicieux moment.
‘’Comme tu es dans de beaux drraps ma douce jelaad, c’est navrrant que tu ne puisses m’assister qu’involontairrement.’’ songea-t-il, extatique.
Ce rite passionnel était guidé de manœuvres tempérées aiguisant davantage ce plaisir ludique qu’il vivait dans l’anonymat. L’épisode fut brève mais ô combien satisfaisante. Il ne pu se résoudre à refermer la porte sans un dernier baiser, une dernière caresse labiale sur l’objet de son fétichisme.
" Le seul moyen de se débarrasser d'une tentation, c'est d'y céder. Ça c’est le pied!"
C’est ainsi qu’il succomba. Déposant d’abord quelques baisés tendres puis quelques baisés humides et passionnés sur la plante des pieds de la femme. Si son corps en frémit, c’est que son âme s’en réjouit.
Après que sa conscience frappa à la porte de sa démence, il disparu sans bruit, le regard effrayé et confus.
‘’La plus importante et la plus négligée des entretient, c’est celle avec soi-même.’’
‘’Shalam maaa-demoiselle Rroose’’, repondit Lawreth sur un ton douceâtre lorsque Vandala regagna ses appartements.
Seule à l’étage de l’auberge, Lawreth se tenait devant la chambre de Vandala, immobile et silencieux, laissant les minutes et l’heure s’écouler jusqu’à l’accalmie la plus complète et absolu des lieux. C’est à ces heures qu’il prenait loisir de rendre visite à la clientèle innocemment endormi. Oh ça, il n’y parvenait pas souvent. Ce n’était pas parce que les portes furent été verrouillées, ni dû au sommeil léger des clients, ni à cause des ébats charnelles discrets en cours qui empêchait le kheijan de s’introduire dans leur chambre. Il laissait ce pouvoir entre les mains du hasard juste et équitable. Comme un juge impartial de la conscience, sa pièce de monnaie faisait justice à ses choix. Heureusement depuis qu’il s’amuse à tenter la chance avec sa piécette, ses projets d’incursion demeurèrent vain.
Seulement, une fois…
-……. face, prononça-t-il faiblement, incrédule.
Il entra dans la chambre.
‘’Face?’’, l’interroge opiniâtrement sa conscience lorsqu’il referma la porte derrière lui, le regard porté sur la silhouette exquise d’une femme alité.
Dans sa procession vers la Rose endormit, prête à la cueillir sans la faire frémir, Lawreth, obsédé et silencieux, l’aborda d’abord au chevet de son lit. Muet, il admira la vision qu’il avait sous les yeux. Attentif et serein, il se pencha sur elle pour écouter son souffle doux et infime. Enivré et transcendant, il laissa flotter sa main au-dessus de la silhouette habillée de couvertures, suivant ses reliefs comme pour imprégner sa mémoire à jamais de ce délicieux moment.
‘’Comme tu es dans de beaux drraps ma douce jelaad, c’est navrrant que tu ne puisses m’assister qu’involontairrement.’’ songea-t-il, extatique.
Ce rite passionnel était guidé de manœuvres tempérées aiguisant davantage ce plaisir ludique qu’il vivait dans l’anonymat. L’épisode fut brève mais ô combien satisfaisante. Il ne pu se résoudre à refermer la porte sans un dernier baiser, une dernière caresse labiale sur l’objet de son fétichisme.
" Le seul moyen de se débarrasser d'une tentation, c'est d'y céder. Ça c’est le pied!"
C’est ainsi qu’il succomba. Déposant d’abord quelques baisés tendres puis quelques baisés humides et passionnés sur la plante des pieds de la femme. Si son corps en frémit, c’est que son âme s’en réjouit.
Après que sa conscience frappa à la porte de sa démence, il disparu sans bruit, le regard effrayé et confus.
‘’La plus importante et la plus négligée des entretient, c’est celle avec soi-même.’’
Lawreth- Messages : 159
Date d'inscription : 23/02/2009
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