Transgression quand tu nous tiens...
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Transgression quand tu nous tiens...
Un secret est une expression que l'on préserve de la conscience de son environnement. Celui qui, censuré par crainte, sommeil pour éviter de perturber un équilibre accommodant le détenteur de cette boîte de pandore.
Lawreth était revenu au Cent-Pointe entre ombre et lumière, cette mince frontière entre absurdité et conviction. Le doute était l'un de ses plus redoutables assaillants, celui qui l'empêchait d'agir et également celui qui le poussait à l'impétuosité.
Doux songe luttant contre la distorsion de son esprit.
<<Rrreprrends surrr toi-même, fils...>>
Il arpentait ainsi la cité dévasté et silencieuse. La perspective de la cité fantôme le criblait de visions plus vrais les unes des autres, à chaque coin d'ombre les spectres du passé en effervescence. L' échos de voix se répercutant lointaine, des rires étouffant de malice baillé des venelles sombres, des portes gémissant leur santé précaire, de petites lueurs dans l'obscurité...
<<L'entretient le plus redoutable est celui que l'on se fait à soi-même...>>
Un chat frisa le coin d'une avenue en mirant son regard glauque sur lui. Minerva. Elle l'avait senti venir et la présence du fils de sa maîtresse lui était toujours aussi réconfortante. C'est ainsi qu'elle s'approcha du kheijan lentement, lui sans s'arrêter laissait le chat chasser son ombre.
Lawreth poursuivit sa procession jusqu'à son entrepôt, s'arrêtant net devant le portail en démise et pendant à une seule charnière. Quelqu'un avait forcé l'endroit et le chat, lui, n'en fit pas d'histoire. Il s'engouffra hâtivement dans l'embrasure de la porte en démise.
Affligé et contrarié, c'est devant le spectacle horripilant de cellules aux gueules entrebâillées que ses craintes furent actualisées. Un secret avait franchit leur seuil comme un confident qui n'aurait su remplir son devoir.
Il se retira dans les ombres, revêtant ce pelage conçu pour se défendre. Que celui qui ignorait ou se savait coupable de cette imprécation, devinerait bien assez tôt que la force de l'opposition ne ferait que prolonger la sentence mordante que l'on réserve à ceux commettant la traitrise envers un kheijan.
Lawreth était revenu au Cent-Pointe entre ombre et lumière, cette mince frontière entre absurdité et conviction. Le doute était l'un de ses plus redoutables assaillants, celui qui l'empêchait d'agir et également celui qui le poussait à l'impétuosité.
Doux songe luttant contre la distorsion de son esprit.
<<Rrreprrends surrr toi-même, fils...>>
Il arpentait ainsi la cité dévasté et silencieuse. La perspective de la cité fantôme le criblait de visions plus vrais les unes des autres, à chaque coin d'ombre les spectres du passé en effervescence. L' échos de voix se répercutant lointaine, des rires étouffant de malice baillé des venelles sombres, des portes gémissant leur santé précaire, de petites lueurs dans l'obscurité...
<<L'entretient le plus redoutable est celui que l'on se fait à soi-même...>>
Un chat frisa le coin d'une avenue en mirant son regard glauque sur lui. Minerva. Elle l'avait senti venir et la présence du fils de sa maîtresse lui était toujours aussi réconfortante. C'est ainsi qu'elle s'approcha du kheijan lentement, lui sans s'arrêter laissait le chat chasser son ombre.
Lawreth poursuivit sa procession jusqu'à son entrepôt, s'arrêtant net devant le portail en démise et pendant à une seule charnière. Quelqu'un avait forcé l'endroit et le chat, lui, n'en fit pas d'histoire. Il s'engouffra hâtivement dans l'embrasure de la porte en démise.
Affligé et contrarié, c'est devant le spectacle horripilant de cellules aux gueules entrebâillées que ses craintes furent actualisées. Un secret avait franchit leur seuil comme un confident qui n'aurait su remplir son devoir.
Il se retira dans les ombres, revêtant ce pelage conçu pour se défendre. Que celui qui ignorait ou se savait coupable de cette imprécation, devinerait bien assez tôt que la force de l'opposition ne ferait que prolonger la sentence mordante que l'on réserve à ceux commettant la traitrise envers un kheijan.
Lawreth- Messages : 159
Date d'inscription : 23/02/2009
Re: Transgression quand tu nous tiens...
Dans un coin, lors de sa sortie, un survivant y aillant laisser sa santé mental balbutinais des nombreuse choses sans aucuns sens, jusqu'à ce qu'une certaine série de phrase étrange attire l'attention qui veut bien l'entendre.
-Deux, pas trois pas un pas mille, deux! Un la bas, un ici, sortie de nul part. Marchais dans la ville, dans la ville comme ça comme lui... ou elle? Ha ha, deux mort, un deux pour un oui. Deux, deux fantômes. Il sont partie plus lourds qu'ils sont arrivé, ça c'est certain. ha ha... qu'est-ce que tu en pense repas?
Cette dernière phrase s'adressa a un rat qui eu le malheur de passer alors que le survivant fou avait justement faim. Il partie a lui courir après et disparut entre deux ombres.
Un peu plus loin, Xathwort déposa un objet beaucoup plus précieux qu'il ne l'imaginais dans son antre et le regarda un moment. Quel jolie décoration. Si seulement il savait... Le destin nous file parfois entre les doigts.
-Deux, pas trois pas un pas mille, deux! Un la bas, un ici, sortie de nul part. Marchais dans la ville, dans la ville comme ça comme lui... ou elle? Ha ha, deux mort, un deux pour un oui. Deux, deux fantômes. Il sont partie plus lourds qu'ils sont arrivé, ça c'est certain. ha ha... qu'est-ce que tu en pense repas?
Cette dernière phrase s'adressa a un rat qui eu le malheur de passer alors que le survivant fou avait justement faim. Il partie a lui courir après et disparut entre deux ombres.
Un peu plus loin, Xathwort déposa un objet beaucoup plus précieux qu'il ne l'imaginais dans son antre et le regarda un moment. Quel jolie décoration. Si seulement il savait... Le destin nous file parfois entre les doigts.
Xathwort- Messages : 217
Date d'inscription : 04/02/2009
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